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Santé sexuelle : quels suivis médicaux ?

Publié le 11/09/2023 ‐ Mis à jour le 12/02/2024

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La santé sexuelle est une partie importante de votre santé. Un suivi médical régulier par des professionnels de santé est indispensable. Et pourtant un grand nombre de personnes en situation de handicap n’ont pas recours à ces soins. Le point sur les suivis médicaux essentiels et l’importance de la prévention et du dépistage en matière de santé sexuelle.

1) Santé sexuelle : pourquoi consulter ? 

Pour prendre soin de vous et de votre santé sexuelle, un suivi médical régulier est indispensable.

Par exemple, pour :

  • vous assurer que vos organes sexuels fonctionnent bien ;
  • vérifier que vous n’avez pas de maladie comme une infection sexuellement transmissible (IST) ;
  • demander à bénéficier d’un moyen de contraception ;
  • prévenir certaines maladies comme le cancer…

La santé sexuelle concerne tout le monde : les femmes, les hommes quelques soient leur orientation de genre ou sexuelle et leur âge.

Le suivi doit démarrer de préférence dès l’adolescence, au moment de la puberté chez les garçons et les filles.

À savoir : Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la santé sexuelle n’est pas seulement l’absence de maladies, c’est aussi la possibilité de vivre une sexualité épanouie.

2) Quel suivi médical pour les filles et les femmes ? 

À l’âge des premières règles 

Pendant la puberté, l’ensemble du corps se transforme. Les seins grossissent, les poils poussent et les premières règles arrivent. 

Une première consultation médicale est recommandée à l’apparition des premières règles. Elles apparaissent chez les jeunes filles en moyenne entre 11 et 14 ans. 

La vaccination papillomavirus entre 11 et 14 ans

Si votre fille a entre 11 et 14 ans, il est recommandé de la faire vacciner contre le papillomavirus. L’efficacité de ce vaccin est proche de 100 % lorsqu’il est pratiqué avant le début de la vie sexuelle. Cette vaccination se fait avec deux injections, espacées de 6 à 13 mois. 
À noter qu’un rattrapage est possible entre 15 et 19 ans. Dans ce cas, 3 injections sont nécessaires, espacées de 2 à 6 mois. Source : améli.fr

Consultez un médecin qui pourra vous conseiller et vous préciser s’il existe des éventuelles contre-indications.

De l’adolescence à l’âge adulte 

Dès l’âge des premières relations amoureuses, affectives et sexuelles, il est important d’avoir des conseils et des informations pratiques sur :

•    la puberté ; 
•    les différents moyens de contraception (pilule, stérilet, préservatif…) et comment les utiliser ;  
•    la grossesse ;  
•    les règles. Si elles sont très douloureuses, il peut s’agir d’endométriose (cette maladie chronique touche une femme sur dix) ; 
•    la prévention des maladies sexuelles transmissibles ;
•   etc.

Quels sont les examens médicaux essentiels ?  

L’Assurance Maladie recommande d’avoir un suivi gynécologique régulier dès l’âge de 25 ans qui vous permet de : 
•    ajuster votre moyen de contraception à vos besoins ; 
•    effectuer une palpation régulière des seins pour détecter le cancer du sein ; 
•    faire des mammographies selon une fréquence qui dépend de vos antécédents familiaux et de votre âge pour détecter des cancers du sein ou autres tumeurs ; 
•    réaliser des frottis pour dépister le cancer du col de l’utérus (si vous avez déjà eu des rapports sexuels) ; 
•    effectuer des échographies, notamment si vous êtes enceinte.

Cette liste d’examens n’est pas exhaustive et dépend de votre situation. Le professionnel de santé est en mesure de vous prescrire les examens adaptés. Il est recommandé de se faire examiner chaque année.

À noter : la contraception, le suivi et les visites chez votre médecin, votre gynécologue ou votre sage-femme, sont pris en charge pour les filles jusqu’à 25 ans. Pour en savoir plus sur les conditions : consulter le site de l’Assurance Maladie : www.ameli.fr 
 

Le saviez-vous ?

Les troubles de l’érection sont connus chez les hommes. Cependant, les femmes peuvent aussi avoir des troubles de l'érection au niveau du clitoris. Cela impacte la sensation de plaisir. N’hésitez pas à consulter un professionnel de santé qui pourra vous accompagner.
 

À partir de 40 ans 

À partir de 40 ans, il est important de faire une mammographie. Il s’agit d’une radiographie de vos seins qui permet de repérer d’éventuelles tumeurs. Certaines de ces tumeurs ne sont pas graves et celles qui sont cancéreuses peuvent être traitées plus facilement si elles sont repérées tôt.

Il est recommandé de faire une mammographie tous les 2 ans à partir de 50 ans. Selon vos antécédents familiaux, la fréquence de cet examen peut varier.

À partir de 45 ans 

La ménopause intervient généralement entre 45 et 55 ans. C’est le moment de la vie d'une femme où les règles s'arrêtent définitivement. 
Pendant cette période, différents symptômes peuvent apparaître comme :
•    des bouffées de chaleur ;
•    une prise de poids ;
•    une fatigue ;
•    une irritabilité ;
•    des troubles du sommeil ; etc.

Il est important de consulter pour pouvoir bénéficier d’éventuels traitements qui permettent de réguler les dérèglements hormonaux.

À savoir : le dépistage du cancer du sein est gratuit pour les femmes entre 50 et 74 ans. Pour en savoir plus sur les conditions, consultez le site de l’Assurance Maladie :  www.ameli.fr

Qu’est-ce que le dispositif Handigynéco ? 

À quoi sert le dispositif Handigynéco ? 

Handigynéco est un dispositif pour les femmes en situation de handicap vivant en établissement médico-social. Il vous permet d'avoir accès à des soins gynécologiques et à un suivi de votre santé adaptés. 
L’objectif du dispositif Handigynéco est : 
•    d’améliorer l’accès  aux soins gynécologiques (actions de prévention et de dépistage) ;
•    d’améliorer l’accès  à l’information sur la vie affective et sexuelle ; 
•    de sensibiliser et prévenir contre les violences faites aux femmes. 
Ce programme est déjà déployé en Île-de-France, en Normandie et en Bretagne. Il est prévu que le dispositif Handigynéco soit déployé dans toute la France (et les territoires ultramarins).

Comment marche le dispositif Handigynéco ? 

Des sages-femmes libérales, volontaires et formées sur les différentes situations de handicap interviennent dans les établissements médico-sociaux (FAM et MAS) pour réaliser des actions sur différents volets.

Les soins :  pour faciliter l’accès aux soins gynécologiques grâce à la mise en place de consultations gynécologiques individuelles adaptées aux besoins de chaque femme et pour des actions de prévention et de dépistage (sexualité et contraception, hygiène, dépistage des infections sexuellement transmissibles – IST, cancérologie).

La vie affective et sexuelle : pour informer sous la forme d’ateliers collectifs toutes les personnes en situation de handicap (hommes et femmes)  et leur apporter une meilleure connaissance de leur corps, de l’hygiène, de la sexualité, de la contraception, de la parentalité ou du désir de parentalité, etc. Les sages-femmes peuvent aussi organiser des ateliers professionnels des établissements médico-sociaux sur ces mêmes thématiques.

Les violences faites aux femmes : pour sensibiliser toutes les personnes en situation de handicap (hommes et femmes) et les professionnels sur ce sujet, et mettre en place des actions pour prévenir, les violences et prendre en charge les personnes si besoin.

3) Quel suivi médical pour les garçons et les hommes ? 

Vous pouvez demander des conseils et un suivi à votre médecin généraliste. C’est lui qui peut vous dire quels examens de contrôle peuvent être nécessaires, en fonction de votre âge et de votre situation. Il pourra par exemple vous proposer :

  • des informations sur les moyens de contraception ; 
  • des informations sur les infections sexuellement transmissibles (IST) ; 
  • des examens ou un dépistage des cancers comme le cancer colorectal et d’autres cancers. 

Pour en savoir plus sur les IST et le cancer colorectal, consulter les fiches Santé BD

L’infos en plus

Un gynécologue ou une sage-femme peuvent accueillir et accompagner également les hommes dans le domaine de la sexualité.

À la puberté 

Chez les garçons, la puberté peut débuter entre 9 et 14 ans (en moyenne à 12 ans). Pendant cette période, l’ensemble du corps évolue et les organes sexuels se transforment : 

•    le pénis et les testicules grossissent ; 
•    les poils poussent ; 
•    la voix change ; 
•    le caractère peut évoluer  ;
•    etc.

Cette entrée dans la vie adulte et sexuelle peut susciter de nombreuses interrogations notamment sur la contraception.

Les garçons peuvent bénéficier d’une consultation gratuite de 16 à 25 ans chez le médecin généraliste ou spécialiste pour parler de santé sexuelle. Pour en savoir plus sur les conditions, consultez le site de l’Assurance Maladie : www.ameli.fr 
 

Le saviez-vous ?

Plus connue pour les jeunes filles, la vaccination contre le papillomavirus (HPV) concerne aussi désormais les garçons de 11 à 14 ans
L’efficacité de ce vaccin est proche de 100 % lorsqu’il est pratiqué avant le début de la vie sexuelle. Cette vaccination se fait avec deux doses, espacées de 6 à 13 mois. Et un rattrapage est possible entre 15 et 19 ans. Dans ce cas, trois injections sont nécessaires. 
 

À l’âge adulte 

Vous pouvez demander un avis médical dès que vous avez une question au sujet notamment de :
•    votre corps ;
•    votre sexualité ;
•    votre érection ;
•    votre fertilité ; 
•    la contraception ;
•    la vasectomie (intervention chirurgicale permettant d’obtenir une stérilisation chez les hommes.) ;
•    votre désir d’enfant etc.

Qu’est-ce qu’un trouble de l’érection chez l’homme ?

Pour parler de troubles de l’érection, le problème doit durer depuis plus de trois mois et qu’il se répète souvent pendant la relation sexuelle. Les troubles de l'érection peuvent survenir à tout âge. 
Ils sont beaucoup plus fréquents chez les hommes à partir de 50 ans. 
Quant aux troubles de l’éjaculation, ils peuvent être associés ou non aux troubles de l’érection. Ils sont liés à l’état de santé physique et/ou psychologique de l’homme. Ils sont plus élevés chez certaines personnes en situation de handicap.

Il existe d’autres troubles de l’érection comme :

  • l’éjaculation précoce c’est-à-dire quand l’éjaculation survient trop tôt, avant ou peu de temps après la pénétration ;
  • l’éjaculation baveuse c’est-à-dire quand l’éjaculation ne se fait pas en jet ;
  • la courbure de la verge qui survient au moment de l'érection et gêne la pénétration…

4) Quels prévention et dépistage en matière de santé sexuelle ? 

Quels sont les vaccins contre les infections sexuellement transmissibles (IST)? 

Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont des maladies qui se transmettent durant un rapport sexuel et qui peuvent être graves (gonocoque, hépatite B, VIH …). La vaccination est recommandée dans certains cas. Attention : il n’existe pas de vaccins contre le VIH. À ce jour, il existe deux vaccins pour prévenir les IST virales :

Le vaccin contre l’hépatite B (VHB)   

Le vaccin contre l’hépatite B (VHB) est obligatoire pour tous les nouveaux nés depuis le 1er janvier 2018, dès l’âge de 2 mois. Il est recommandé notamment pour :  

  • tous les enfants et adolescents de moins de 15 ans et n’ayant pas été vaccinés ; 
  •  les personnes exposées ayant des rapports sexuels avec plusieurs partenaires ou susceptibles de recevoir des transfusions sanguines, par exemple.

Le vaccin contre les HPV : papillomavirus 

La vaccination contre le papillomavirus (HPV), responsable du cancer du col de l’utérus, est recommandée pour : 

 •    les filles et les garçons de 11 à 14 ans ;  
•    les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes jusqu'à 26 ans.   

Qu’est-ce qu’est le papillomavirus ?

Il s’agit de la première infection sexuellement transmissible (IST) virale. L’infection se transmet pendant les rapports sexuels ou avec des contacts intimes, même sans pénétration, avec une personne porteuse du virus. Par exemple, les papillomavirus peuvent être transmis par les doigts lors de caresses intimes.  

Il existe plusieurs sortes de papillomavirus. Il s’agit de différents virus dit « HPV » qui peuvent toucher tout le monde : les femmes comme les hommes. Ces virus peuvent entraîner des infections. Dans la majorité des cas, l’infection à papillomavirus ne provoque aucune maladie. Le virus est éliminé naturellement par votre corps dans les deux ans.   

Dans 10% des cas, le corps n’arrive pas éliminer le virus et l’infection HPV s’installe dans le temps. Certains virus papillomavirus peuvent être à haut risque cancérigène notamment les HPV 16 ou 18. Ces virus peuvent entrainer des lésions qui peuvent se transformer en cancer et toucher les parties intimes des femmes et des hommes comme la vulve, le vagin, le col de l’utérus, l’anus et le pénis ou d’autres parties comme la bouche et la gorge.   

Quels sont les autres moyens de prévention ? 

Il existe d’autres moyens de prévention contre les infections sexuellement transmissibles (IST) :

  • le préservatif masculin à mettre sur le pénis en érection ;  
  • le préservatif féminin placé dans le vagin pour recevoir le sexe masculin au moment de la pénétration ;  
  •  les contraceptifs comme la pilule ou le stérilet pour avoir des rapports sexuels sans risque de grossesse. Attention : ils ne protègent pas contre les IST.   

À savoir : Depuis janvier 2023, toute personne de moins de 26 ans peut obtenir gratuitement à la pharmacie, sans prescription médicale des préservatifs masculins des deux marques « Eden » et « Sortez couverts ! » et une marque de préservatif féminin « Ormelle » depuis janvier 2024.  Ils sont pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie et sans minimum d’âge. Il faut présenter votre carte vitale ou une attestation de droits (téléchargeable sur le site ameli.fr) ou à défaut votre pièce d’identité.    

Santé sexuelle :  quels sont les dépistages essentiels ? 

Le dépistage du cancer du sein     

Pour dépister le cancer du sein, votre médecin peut vous prescrire une mammographie et ou échographie mammaire si la palpation de vos seins a révélé des grosseurs.

La mammographie c’est une radiographie de vos seins. Selon vos antécédents familiaux, votre médecin, gynécologue ou sage-femme peut vous prescrire ce type d’examens dès 30 ans. Et la mammographie peut être associée à une échographie si nécessaire.   L’échographie peut être réalisée seule dans certains cas. 

Chez les femmes de 50 et 74 ans, il est recommandé de réaliser une mammographie tous les deux ans.

Vous pouvez aussi régulièrement vous autopalper les seins. Il est recommandé d’apprendre à faire ces gestes avec un professionnel de santé. L’autopalpation de vos seins ne remplace pas des examens médicaux à faire avec un professionnel de santé.   

Vous pouvez aussi consulter Santé Bd sur :    

Le dépistage du cancer du col de l’utérus     

La vaccination contre le Papillomavirus reste le premier geste de prévention contre le cancer de l’utérus. Ce cancer est dépisté grâce aux frottis. Il s’agit d’un prélèvement dans votre vagin et le col de l’utérus. Selon les nouvelles recommandations, les frottis se font à partir de 25 ans (s’il y a eu des rapports sexuels)

Le mode de prélèvement ne change pas mais l’analyse est différente selon l’âge de la femme.   

Vous pouvez aussi consulter Santé Bd sur : le dépistage du cancer du col de l’utérus.

Le dépistage du cancer colorectal (du côlon et du rectum)     

Le cancer colorectal concerne le côlon ou le rectum, appelé aussi le gros intestin. Le dépistage est à réaliser à votre domicile, à l’aide d’un kit de dépistage conçu à cet effet. Ce test est à effectuer tous les deux ans entre 50 et 74 ans.   

Détecté tôt, un cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10. Le test de dépistage a pour objectif de détecter à un stade très précoce un cancer ou une lésion précancéreuse. Ce test n'évite pas les cancers mais permet d'établir un diagnostic précoce permettant de mettre rapidement en place une prise en charge afin d’augmenter les chances de guérison. 

Ce test est simple, rapide et indolore.   

Pour en savoir plus : en quoi consiste le test et comment récupérer votre kit ?    

Vous pouvez aussi consulter sur Santé BD sur : le dépistage du cancer du colon. 

Les autres cancers en lien avec les organes sexuels  

Chez les femmes : le cancer de l’endomètre (concerne l’utérus mais différent du col de l’utérus) et le cancer des ovaires.

Chez les hommes : le cancer de la prostate et le cancer des testicules. Le dépistage des différents cancers est essentiel : plus un cancer est repéré tôt, plus les chances de guérison augmentent. 

5) Qui consulter pour le suivi de votre santé sexuelle ? 

Pour assurer le suivi médical de votre santé sexuelle à tout moment de votre vie, il existe des professionnels de santé généralistes ou spécialistes. Il peut s’agir : 
•    d’un médecin généraliste ;
•    d’une sage-femme ;
•    d’un médecin gynécologue (médecin spécialisé notamment en cas de pathologie, de problème) ;
•    d’un médecin endocrinologue (médecin spécialisé pour soigner les dérèglements hormonaux) ;  
•    d’un sexologue ;
•    d’un médecin urologue (spécialiste de l’appareil urinaire et reproducteur, il peut être spécialisé et soigner alors plus particulièrement les troubles de l’érection et de stérilité masculine) ; 
•    d’un médecin andrologue (médecin spécialiste des fonctions reproductives de l'homme)
Pour trouver un professionnel de santé et prendre rendez-vous, vous pouvez vous connecter sur www.ameli.fr, rubrique « Annuaire santé »

À savoir : la consultation chez une sage-femme ou chez un médecin gynécologue n’a pas à être prescrite par un médecin généraliste pour être remboursée par l’Assurance Maladie.

Sexologues spécialisés pour les personnes en situation de handicap

il existe des sexologues spécialisés pour les personnes en situation de handicap
Le sexologue traite les troubles d'ordre sexuel ou du comportement amoureux. Il peut être consulté en cas de troubles physiques comme le trouble de l'érection, de l'éjaculation, ou encore de douleurs pendant le rapport. Attention : la Sécurité sociale rembourse la consultation chez un sexologue uniquement dans le cas où le praticien est conventionné.
 

Vous pouvez aussi contacter :

L’essentiel à retenir

  • La santé sexuelle et un suivi médical régulier permettent d’avoir des relations affectives, intimes et sexuelles épanouies et d’éviter certaines maladies.
  • Les personnes handicapées, hommes et femmes, peuvent bénéficier d’un suivi médical et accompagnement, dès l’adolescence.
  • Il existe des lieux dédiés aux personnes en situation de handicap, aux parents et aux futurs parents en situation de handicap (SAPPH, Centre ressource INTIMAGIR, IMM…). 
     

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